Pour ton implication dans la vie associative de ton village.
Tu n’apparais pas sur cette photo mais elle témoigne de ton engagement pour les « TERATHLONS ». A l’occasion du dixième, le 7 juillet 1996, tu avais mis à l’abri, chez toi, le repas des bénévoles. Cela complétait toutes les journées de démarchage pour la plaquette publicitaire de l’épreuve.
Le souvenir de ta jovialité lors des séances d’épluchage restera toujours en nos cœurs.
Les randos post confinement ont repris le Dimanche 14 juin La sortie était initialement prévue à Crigne mais les pluies abondantes de la veille nous ont découragé et nous avons opté pour les Gorges du Riou/Jubéo. Nous sommes partis de Saint Genis, petit village coquettement et bénévolement entretenu par les habitants. Sur le chemin nous avons découvert le mono câble fixe (restauré par Pierre Para) qui permettait le transport du bois. Plus loin nous avons été tentés par la baignade à la plage du Riou mais finalement non !!! Aprés le pique nique à Jubéo nous sommes rentrés « à la chaude » à Saint Genis.
« L’œuvre restaurée par Pierre PARA de la Roche des Arnauds »
Les eaux encore trop fraiches du Riou pour la baignade
Dimanche 25 octobre : Hameau de Méollion
La balade des cascades et des cascadelles … Elles partent à quatre et reviendront de même. Au village des Borels en Champoléon, elles quittent leur masque et leur carrosse bleu. Il fait beau mais frisquet. Le ciel est bleu, les oiseaux chantent, les randonneuses bavardent. le chemin monte doucement le long du torrent. La forêt est orange de hêtres et de frênes, jaune de mélèzes et verte d’épicéas. Elles traversent des gués bien mouillés et bien glissants. A mi-chemin une magnifique cascade cabriole du haut des rochers et vient les caresser de ses embruns. Les crottes de brebis et les petits cailloux roulent sous les chaussures. Proche du hameau, un câble tendu au-dessus du torrent permet au berger d’acheminer du matériel : un panneau interdit de s’en servir pour traverser ! Ultime gué : deux gamins et leur grand-père le passent allègrement. A leur tour elles tâtonnent les pierres ruisselantes et déplacent prudemment leurs pieds. Au hameau il y a du monde (dimanche et vacances) . Une maison affiche « refuge possible », curieuses elles ouvrent les portes et dérangent un homme qui dormait … Devant la maison du berger une table et deux bancs ni verticaux ni horizontaux conviennent pour le pique-nique et la distanciation sociale. Des voiles de nuages apparaissent. Rassasiées de nourriture et de beauté alpestre, elles s’en retournent. C’est un ciel plombé qui les accompagnent. Il est à peine 14h.
Passage prudent. Nicole veille…
Nouveau : une trousse de secours, merci Sylvie. Trouvez l’intrus !