Assemblée Générale 2019

Affluence record !

La salle des mariages de la Mairie accueillait cette réunion « statutaire » de l’Association pour conclure l’année 2019, riche comme jamais.

Le président fait lecture de son Rapport Moral où il relate toute l’activité de l’année écoulée.
Le public, plus nombreux qu’à l’accoutumée, s’installe, acquiesce et vote à l’unanimité les divers rapports.
Après l’évocation des perspectives pour 2020 et l’apéritif, l’auberge voisine déplie une longue tablée pour servir les « Jailles » devenues la tradition.

Les compte-rendus :

Les randos hivernales ont commencé

Dans le Dévoluy : le Vallon d’Anes

Dimanche 12 janvier :

Départ, raquettes aux pieds, parking du téléphérique de l’Iram à l’Enclus
Nicole ouvre la marche, rayonnante, tout se passe bien !
Puis le groupe s’étire en direction du soleil, rayonnant lui aussi.
Jusqu’au moment tant attendu du pique-nique
Le retour dans les traces de Nicole, très vigilante dans cette neige croûtée.
Photos : Noëlle AMEIL

Vendredi 7 février :

Céüsette au clair de la Lune

Samedi 22 février :

La Manche de Céüse.

Sur la route de la Sapie, d’Aiguebelle et des Marseillais.

Ah Ceûse, nostagie des skieurs orphelins… Arrivés vers 10h à la Sapie, 11 paires de raquettes sont attachées sur 11 sacs à dos eux-mêmes fixés sur 11 randonneurs pelleautiards. 7 femmes et 4 hommes : la parité est respectée puisque un homme averti en vaut 2! Ils grimpent la piste avec une petite larme émue à la vue du tire-fesses sans perches et la cabane : guichet des forfaits en papier et buvette. Direction La Manche. La neige est vieille, dure, inutile de chausser les raquettes. De temps en temps un arrêt pour écouter le silence, admirer le paysage, boire un coup et reformer le groupe. Arrivés à la crête (Nicole en tête suivi de Catherine et Sylvie) les perce-neige sont à l’accueil et même un crocus ! Là, Guy nous explique comment ont été posées les clôtures pour empêcher le bétail de son beau-frère de faire du « Base-Jump »… Après un pique-nique partagé (le cake de Patrick, les chouquettes de Séverine, le café d’Alain, les 2 pommes de Babeth) commence la descente du retour. En haut de Miane la neige est tant dure que tout le monde descend sur les fesses. Les souvenirs affluent : la grosse cabine sur chenilles menant les skieurs à Aiguebelle, le téleski des Marseiilais qui décollait au départ même les plus costauds, la bonne odeur de gasoil dans la file d’attente. En haut de Miane dans la forêt pour rejoindre notre parking, Alain nous montre un arbre remarquable : un Pin Candélabre : immense, majestueux, discret. Arrivés aux voitures, nous mettons les raquettes dans les coffres. elles se sont bien reposées, ont profitées bon air, certaines ont même pris un coup de soleil …

Les raquettes accrochées au sac à dos.
Photo de Séverine Rambaud
Le regroupement au sommet, avant le casse croûte.
Photo de Marylène Maumet
Gros plan sur le tronc du « Pin Candélabre »
Photos de Sylvie Gavinette
Pour l’échelle : trois personnes sont nécessaires pour en faire le tour.
« Les Perce-Neige sont à l’accueil et même un Crocus »

Samedi 14 mars

Le Col du Tat en Dévoluy :

Les voitures sont laissées à la cabane de ski de fond de la Joue. Nous ne sommes que 8. Les raquettes sont restées dans les coffres : la neige est lacérée de grandes griffures herbeuses. Les ruisseaux coulent à « donf’  » De petits tas de terre prouvent que les taupes sont réveillées ! Dans cette pâture nous ne sommes pas seuls … Des vacanciers promènent leur chien ou leurs enfants. Un groupe de jeunes femmes toutes « gaîtes » entourent l’une d’elles vêtue d’un tutu violet (un enterrement de vie de jeune fille ?) Un groupe s’obstine à « raquetter » sur terre, cailloux, neige aussi. Des photographes mitraillent le panorama mais la lumière déjà crue estompe les nuances de la neige : rosée, bleutée, grisée … Pourtant dans notre petite bande, ce n’est pas la joie. Le « Coronamerde » rôde dans nos conversations. Au col heureusement, le silence, la beauté du paysage et le pique-nique nous font du bien;. A l’arrivée à SuperD, le contraste est saisissant entre le monde en terrasse et les quelques skieurs. Les uns prennent le soleil alignés comme des sardines (à lunettes) sur l’étalage d’un poissonnier, les autres errent en zig-zag plus ou moins sportifs . Franchement l’ambiance est bizarre. Vers 15 heures, la navette nous ramène à notre départ. On se quitte avec un « A bientôt, prenez soin de vous, prenez soin des autres. » Babeth

Point d’arrivée à Super D : « vers 15h00, la navette nous ramène à la Joue du Loup »
Pendant le trajet : « le pique-nique qui fait du bien » photographié par Séverine Rambaud

« Nice trip »

à Nice le 5 octobre

Départ de St André des Alpes et passage du Train des Pignes devant de nombreuses gares comme celle d’Annot.
Arrivée à Nice à la majestueuse gare des chemins de fer de Provence.
Après la découverte depuis le rail, des villages pittoresques …
… Le long du Var …
… dont les eaux se jettent tout près de la plage en galets de la Promenade des Anglais.

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