« Nous étions une vingtaine à nous retrouver dans la salle pour trinquer avec un verre de vin primeur dans la bonne humeur en partageant les bonnes recettes que chacun avaient emmenées pour accompagner le Beaujolais nouveau !
Merci à tous pour votre participation, vos blagues et vos sourires. »
Tandis qu’à l’extérieur la pluie redouble d’intensité, au bar, la bière coule à flot.
Le DJ prépare son répertoire pour la soirée, deux couples sont déjà sur la piste pour un Tango langoureux.
Il ira bientôt s’installer à une table où le service de la Choucroute a commencé …
aux quatre coins de la salle.
les serveuses en costume traditionnel se relaieront.
sur un rythme endiablé !
Le lendemain, le calme sera revenu dans la salle pour permettre aux bénévoles de se mettre à table pour savourer les restes de Choucroute, de vin d’Alsace, de bières, de tarte aux pommes, agrémentés par le fromage du cru, des croquants, le café, la « Pette » et l’Hysope avant de terminer le rangement.
Après La Chapelle en Valgaudemar, la route s’appelle « la route des cascades ». Et c’est vrai : le Voile de la Mariée est la plus belle mais pas la seule ! Parti du parking du Gioberney (plein comme un œuf) notre petit groupe monte tranquille. Le sentier est bien fréquenté à l’aller comme au retour, normal : il fait si beau et l’air est si bon. Arrivés au lac, une cinquantaine de personnes est déjà installée pour pique-niquer : certains les pieds dans l’eau. Au retour, après plein de zigzag dans la descente. La terrasse du Chalet-Hôtel nous invite. Une petite mousse ça ne se refuse pas. A+
« La route s’appelle la Route des Cascades »
« Notre petit groupe monte tranquille »
« Il fait si beau et l’air est si bon »
« Arrivés au lac, une cinquantaine de personnes est déjà installée pour pique-niquer »
« Une petite mousse, ça ne se refuse pas »
Photos et texte : Babeth BURLE
Le 26 novembre à Céüse
« C’est par une belle journée bien froide mais ensoleillée qu’un petit groupe s’est retrouvé pour une rando locale.
4 femmes 4 hommes (parité respectée) et un chien. Nous avons laissé les voitures aux Guerins, bien emmitouflés car le froid s’était invité.
Partant de la jolie fontaine gelée, nous avons suivi le chemin qui mène à la cabane du berger, avant de prendre la grimpette qui mène à un ancien hameau » le désert ». Après quelques arrêts le temps de reprendre son souffle, d’admirer la jolie vue, de faire une ou 2 photos (Guy sous le gui), nous avons pique-niqué sous un soleil timide. Derrière nous les falaises à pic de Céüse la belle, le beau ciel bleu, les arbres aux couleurs de l automne, une belle vue sur Céüzette, nous sommes redescendus en tout début d’après midi pour rejoindre notre point de départ. C’était une belle journée, belle ambiance avec des gens charmants et sympathiques (😂) »
Rejoignez nous pour la prochaine !
« Derrière nous la falaise à pic de Céüse la belle »
Sur les consignes de Dédé le boulanger, le four est mis en chauffe dès le Mercredi et entretenu ensuite. Jean-François est à l’écoute attentive …
La première séance de cuisson a lieu le Samedi après midi, elle se poursuit en soirée avec celle des pizzas qui agrémentent l’apéritif « auberge espagnole ».
Le Dimanche, c’est le temps de la Messe dans un jardin du hameau qui sera suivi de l’apéritif gratuit, de la vente habituelle …
et du repas « tiré du sac » sur « table commune » devant le four qui mettra plusieurs jour à se refroidir.
Première nouveauté : la participation très active de Manteyer qui revêt le maillot jaune dès sa première participation.
Le Baby-Foot agrandit la « palette » des activités.
Le tapis savonné fait une entrée fracassante pour Monsieur le Maire de Sigoyer.
Pour la tradition, les villages se décrivent en quelques lignes souvent à prendre au deuxième degré.
Séverine aura aussi à gérer le « Fil rouge »
et Guy et Gérard l’épreuve du « Passe partout » , élément incontournable du programme …
où l’équipe masculine obtient la première place du classement et encourage ses féminines plus « laborieuses ».
Longtemps en tête du classement général, l’équipe des Pelleautiards doit abandonner ses espoirs de victoire après l’épreuve finale du « Tir à la Corde« .
les réunions préliminaires se poursuivent à Lardier.
A l’ordre du jour de cette deuxième réunion : Le règlement de la manifestation rédigé par Séverine RAMBAUD qui précise l’effectif des équipes des six villages, les prérogatives du jury, le point de rassemblement des équipes sous tonnelle personnalisée, le « timing » de la présentation des équipes, leur feuille de route pour préciser la chronologie du passage des épreuves, etc …
Le choix du fournisseur des tee-shirts est entériné. Le coton est adopté à l’unanimité. Le Flyer sera diffusé dans chaque village début juin. La date de la dernière réunion préparatoire y est fixée au Mercredi 6, à 19h30, même lieu.
« Debout à 5h00, départ à 6h15 pour Aubagne : ça pique un peu ! Nous sommes 20 répartis dans 5 voitures. Arrivés à la gare d’Aubagne nos guides proposent 2 groupes : les randonneurs avec Jean-Louis et les promeneurs avec Philippe . Je choisis le second. A bord du bus municipal gratuit (eh oui il n’y a pas qu’à Gap), nous descendons à la sortie de la ville. Le guide nous mène sur les ruines de tournage des films de Pagnol : Angèle, la fille du puisatier ou Manon des sources. A cette époque les décors étaient construits de briques et de pierres! Sous le regard du Garlaban, de montées en descentes, de sentiers en pistes, de pinèdes en garrigues, nous cheminons. A certains arrêts, Philippe nous lit des passages de « La Gloire de mon Père » en rapport avec le lieux : attentifs, on imagine, on rêve. A la pause-repas, sur un promontoire nous admirons Marseille et son bord de mer. La balade se termine devant la maison de vacances : la Bastide Neuve, autrefois isolée dans les collines, aujourd’hui dans un quartier. Une petite visite au cimetière de la Treille où il repose avec sa famille. Ici beaucoup de rues rappellent ses écrits. De retour à la gare nous attendons le 2° groupe. Ils arrivent une heure plus tard bien halés voire rougis de leur itinérance sous le soleil! (ben oui, plus tu montes moins il y a d’arbres). Encore de beaux souvenirs. Merci Alain! . » Babeth
et, pour l’autre groupe :
« Nous faisions partie du groupe numéro 2 direction le pic du Taoumé avec le guide jean Philippe. La 1ere partie était en commun avec le 1er groupe puis après le hameau de Aubeyssane en ruines nous avons tracé notre chemin .Direction le vallon d en haut en pleine garrigue avec les senteurs de thym a plein nez. Nous avons atteint la grotte de Manon ou la fraîcheur même temporaire nous a fait du bien. Puis reprise du sentier ou le soleil tape fort nous endurons sans mot dire,( cela nous rappelle la montagne du pic de Bure des cailloux et du soleil/) nous passons au pied du Garlaban sommet majestueux; puis vint la pause déjeuner 13h 30. L occasion de recharger les batteries et boire a gogo car ce 1er soleil nous a un peu tous assommé. Puis le guide continuant ses explications sur Pagnol, Giono, d anecdotes en récits de film des livres nous reprenons la route direction le Sommet nous passons devant la grotte spéciale chauve souris ou l’accès a été barriéré pour laisser tranquille ces petites bêtes. Le sommet est atteint facilement et une vue magnifique a 360 nous attend ! La montagne Sainte Victoire, le Garlaban, Aubagne Marseille les îles du Frioul sans oubliés les grottes des pestiférés tout y est, petite photo et nous redescendons via la grotte du gros hibou ( la gloire de mon père) puis nous arrivons à La treille maison de vacances de Marcel Pagnol quand il était petit. Vite un petit tour au cimetière voir toute la famille et nous avons pris le bus pour retourner à Aubagne. Tout au long le guide nous a lu des passages du livre « le temps des secrets. Arrivée gare routière nous retrouvâmes le 1er groupe. » Sylvie
Magnifique journée !
Décors oubliés
le vallon de Passe-Temps
Dans la pinède
ses dindons d’Angèle
une cyste
Photos de Marylène et Claude MAUMET
Non, Pagnol ne s’est pas promené à Rabou !
Une petite pose pour les vrais randonneurs du jour.
Lune presque pleine et Soupe à l’oignon pour réchauffer ceux qu’elle avait éclairés sur Céüsette !
Les conditions étaient presque toutes réunies pour cette randonnée au clair de Lune devenue tradition à Pelleautier. Pour plus de sécurité, le trajet descendant a emprunté le chemin moins pentu d’Ouest en Est qui passe par le « belvédère » d’où l’on surplombe tout le bassin gapençais.
20h47 : tout le groupe des 13 randonneurs se réchauffe grâce au vin chaud de Nicole