Les Moines ont servi l’église !


La vie associative dans un village perché
Pour redécouvrir les activités proposées à Pelleautier le troisième Dimanche de juillet : La fête du village
Dernières nouvelles : LARDIER et SIGOYER terminent à la première place et LARDIER l’emporte au jeu décisif : le tir à la corde.
Une réunion s’est tenue dans la « Salle des deux Céüses » à Sigoyer. Elle a permis de fixer la date de l’événement : Le Samedi 2 juillet. Les villages concernés sont Sigoyer, Lardier, Fouillouse, Neffes et Pelleautier. La Freissinouse sera contactée pour savoir si l’opération l’intéresse. L’effectif des équipes serait de 20 participants qui porteraient les couleurs de leur village par un accessoire de leur choix. La couleur des Pelleautiards est le VERT. Une dizaine de jeux sera au programme qui se déroulera entre 14h00 et 18h00 sur le terrain de sport à l’entrée du village. Une affiche et des flyers seront imprimés prochainement. Un trophée remis en jeu sera réalisé par l’ébéniste de Sigoyer. Le bois sera mis à l’honneur avec le tronçonnage d’une grume au Passe-partout au programme des jeux et une poutre pour jouter au dessus de la piscine.
Une réunion pour « affinage » de l’opération est prévue Mercredi 15 juin à 20h30 : même lieu.
Pour donner vie à l’évènement : Laissez un commentaire !
Il aurait pu être un poisson d’avril dans sa version hâtive au fond du jardin. C’est pour le 8 mai qu’il semble vouloir fleurir. Ce sera donc le brin de Muguet du huit et non du neuf mai que je vous adresse chaleureusement. Vous comprendrez pourquoi pas le 9 !
« C’est avec beaucoup d’entrain que l’ASLCP a mis tout en oeuvre pour organiser la soirée des « années 80 » le samedi 2 avril et dont seul les Pelleautiards ont la recette !
Les assiettes bien garnies, des participants revêtus de tenues loufoques ou pas et aux platines notre super DJ Claude, nous avons pu nous trémousser sur le dancefloor « jusqu’au bout de la nuit ».
Quel bonheur de passer un si bon moment rempli de convivialité, de partage, de joie et de rires. Cela fait du bien de pouvoir à nouveau proposer des animations dans notre beau village !
L’engouement était si fort que nous avons « croulé » sous les demandes d’inscriptions et c’est avec beaucoup de regrets que nous avons dû refuser près de 60 personnes !!!
Nous remercions tous les bénévoles de l’association ainsi que toutes les personnes venues s’amuser, qui nous ont encouragé et qui nous ont transmis leurs félicitations tout au long de la soirée. »
Séverine RAMBAUD
« 11 candidates et candidats pour le Mont Ventoux ce samedi matin. Deux heures de route vers la Provence et à l’arrivée au chalet Reynard : un beau soleil, de la fraicheur en un mot des conditions idéales!!! Nous débutons la rando prés du remonte pente par une montée bien raide qui fatigue les jambes et…..les gens pour déboucher sur un plateau minéral et désertique avec une vue à 360° à couper le souffle sur les vallées environnantes et au loin nous distinguons le Pic de Bure. Se suivent une succession de plateaux et de grimpettes pour arriver au sommet du fameux Mont Ventoux sans…..vent (assez exceptionnel d’aprés les échos). Nous pouvons pique niquer au haut des 1912m du géant de Provence pour ensuite redescendre en toute tranquillité par la route fermée à la circulation pour encore quelques jours. Merci Marylène et Claude pour l’organisation de cette journée bien conviviale. »
Nicole BONNARDEL
Le 8 mai :
Nous ne sommes que 6 mais les meilleurs .Saint Genis (710m) joli petit village de 50 habitants, tout propre tout pimpant avec une mini église toute restaurée … Une haie de magnifiques cytises nous montre le chemin. Le Riou dans ses gorges est creusé de « bassins » d’eau cristalline , une truite s’y promène. Nous entrons dans le canyon. Là-haut ça se couvre. Au bout de ce chemin agréable voici la maison forestière de Jubéo. Une aire de pique-nique avec fontaine, tables, bancs et pelouse (pour la sieste) nous tend les bras : » Que nenni, trop tôt, poussons jusqu’au col ». La grimpette commence. Un engin tueur d’arbres monte la garde (même pas peur). Arrivés au col près du Roc de Taillefer (1050m), on casse-croûte, on blague. Je remarque un pantalon « camouflage-treillis » tout déchiré derrière un buisson : un sanglier belliqueux aurait-il surpris un chasseur en pleine gastro ? Le ciel gris foncé envoie des coups de tonnerre. On commence la descente., ça pleut, on se bâche! Nous traversons une forêt étrange peuplée de chênes rabougris et tordus en tous sens (comme les Faux de Verzy. cf. Wikipédia). Un sol difficile? trop de neige? Ou une malédiction ? Bref ne traînons pas . Mais prudence : ça mouille donc ça glisse. Enfin on retrouve le Riou, A Sr Genis ça s’éclaircit. Le soleil nous attend au parking. A refaire en été pour se baigner… Babeth Burle
Photos : Noëlle AMEIL