Les jeux Inter-villages 2023 à Lardier …

du traditionnel et du nouveau !

Première nouveauté : la participation très active de Manteyer qui revêt le maillot jaune dès sa première participation.
Le Baby-Foot agrandit la « palette » des activités.
Le tapis savonné fait une entrée fracassante pour Monsieur le Maire de Sigoyer.
Pour la tradition, les villages se décrivent en quelques lignes souvent à prendre au deuxième degré.
Séverine aura aussi à gérer le « Fil rouge »
et Guy et Gérard l’épreuve du « Passe partout » , élément incontournable du programme …
où l’équipe masculine obtient la première place du classement et encourage ses féminines plus « laborieuses ».
Longtemps en tête du classement général, l’équipe des Pelleautiards doit abandonner ses espoirs de victoire après l’épreuve finale du « Tir à la Corde« .

Feux de la Saint Jean 2023 …

des échafaudages sur le clocher en toile de fond !

Avant de se produire dans l’église, la chorale du Bois de Saint Jean peaufine sa mise en scène à l’extérieur.
Entre deux Ave Maria, la chanson française obtient un large succès jusqu’à la conclusion du concert.
La table de l’auberge Espagnole est l’étape attendue où chacun propose sa production culinaire.
Biens restaurés, les jeunes s’apprêtent à faire le tour du village avec les lampions. A leur retour, le feu sera allumé .
et réchauffera le public tandis que les choristes interpréteront, en groupes plus restreints des chansons de circonstance.

Inter-villages 2023 …

les réunions préliminaires se poursuivent à Lardier.

A l’ordre du jour de cette deuxième réunion : Le règlement de la manifestation rédigé par Séverine RAMBAUD qui précise l’effectif des équipes des six villages, les prérogatives du jury, le point de rassemblement des équipes sous tonnelle personnalisée, le « timing » de la présentation des équipes, leur feuille de route pour préciser la chronologie du passage des épreuves, etc …

Le choix du fournisseur des tee-shirts est entériné. Le coton est adopté à l’unanimité. Le Flyer sera diffusé dans chaque village début juin. La date de la dernière réunion préparatoire y est fixée au Mercredi 6, à 19h30, même lieu.

Sur les pas de Pagnol …

entre voyage culturel et randonnée pédestre !

« Debout à 5h00, départ à 6h15 pour Aubagne : ça pique un peu ! Nous sommes 20 répartis dans 5 voitures. Arrivés à la gare d’Aubagne nos guides proposent 2 groupes : les randonneurs avec Jean-Louis et les promeneurs avec Philippe . Je choisis le second. A bord du bus municipal gratuit (eh oui il n’y a pas qu’à Gap), nous descendons à la sortie de la ville. Le guide nous mène sur les ruines de tournage des films de Pagnol : Angèle, la fille du puisatier ou Manon des sources. A cette époque les décors étaient construits de briques et de pierres! Sous le regard du Garlaban, de montées en descentes, de sentiers en pistes, de pinèdes en garrigues, nous cheminons. A certains arrêts, Philippe nous lit des passages de « La Gloire de mon Père » en rapport avec le lieux : attentifs, on imagine, on rêve. A la pause-repas, sur un promontoire nous admirons Marseille et son bord de mer. La balade se termine devant la maison de vacances : la Bastide Neuve, autrefois isolée dans les collines, aujourd’hui dans un quartier. Une petite visite au cimetière de la Treille où il repose avec sa famille. Ici beaucoup de rues rappellent ses écrits. De retour à la gare nous attendons le 2° groupe. Ils arrivent une heure plus tard bien halés voire rougis de leur itinérance sous le soleil! (ben oui, plus tu montes moins il y a d’arbres). Encore de beaux souvenirs. Merci Alain! . » Babeth

et, pour l’autre groupe :

« Nous faisions partie du groupe numéro 2 direction le pic du Taoumé avec le guide jean Philippe. La 1ere partie était en commun avec le 1er groupe puis après le hameau de Aubeyssane en ruines nous avons tracé notre chemin .Direction le vallon d en haut en pleine garrigue avec les senteurs de thym a plein nez. Nous avons atteint la grotte de Manon ou la fraîcheur même temporaire nous a fait du bien. Puis reprise du sentier ou le soleil tape fort nous endurons sans mot dire,( cela nous rappelle la montagne du pic de Bure des cailloux et du soleil/) nous passons au pied du Garlaban sommet majestueux; puis vint la pause déjeuner 13h 30. L occasion de recharger les batteries et boire a gogo car ce 1er soleil nous a un peu tous assommé. Puis le guide continuant ses explications sur Pagnol, Giono, d anecdotes en récits de film des livres nous reprenons la route direction le Sommet nous passons devant la grotte spéciale chauve souris ou l’accès a été barriéré pour laisser tranquille ces petites bêtes. Le sommet est atteint facilement et une vue magnifique a 360 nous attend ! La montagne Sainte Victoire, le Garlaban, Aubagne Marseille les îles du Frioul sans oubliés les grottes des pestiférés tout y est, petite photo et nous redescendons via la grotte du gros hibou ( la gloire de mon père)  puis nous arrivons à La treille maison de vacances de Marcel Pagnol quand il était petit. Vite un petit tour au cimetière voir toute la famille et nous avons pris le bus pour retourner à Aubagne. Tout au long le guide nous a lu des passages du livre « le temps des secrets. Arrivée gare routière nous retrouvâmes le 1er groupe. » Sylvie

Magnifique journée ! 

Décors oubliés
le vallon de Passe-Temps
Dans la pinède
ses dindons d’Angèle
une cyste

Photos de Marylène et Claude MAUMET

Non, Pagnol ne s’est pas promené à Rabou !
Une petite pose pour les vrais randonneurs du jour.

Photos : Alain Filipucci

Soirée lumineuse …

Lune presque pleine et Soupe à l’oignon pour réchauffer ceux qu’elle avait éclairés sur Céüsette !

Les conditions étaient presque toutes réunies pour cette randonnée au clair de Lune devenue tradition à Pelleautier. Pour plus de sécurité, le trajet descendant a emprunté le chemin moins pentu d’Ouest en Est qui passe par le « belvédère » d’où l’on surplombe tout le bassin gapençais.

20h47 :  tout le groupe des 13 randonneurs se réchauffe grâce au vin chaud de Nicole
22h30 : la soupe en position centrale !

Le Boudin 2023 …

fête ses 17 ans !

Le 18 février 2006, la première édition de l’événement avait été filmée par René MANNENT et Charly BAILE.

Après deux années sans le traditionnel repas, un grand nombre de convives se sont retrouvées attablées pour déguster la production de l’année.

Tous les ingrédients habituels garnissaient l’assiette de chacun …
qui retrouvait la décoration de l’année : la chouette en carton de … rouleaux de papier toilette.
Il faudra garder le souvenir ému de la première journée de la semaine avec les éplucheurs d’oignons en plus grand nombre cette année …
dont l’effectif est à rajouter à celui des actifs du Samedi matin.

L’Assemblée Générale 2022 :

Affluence record !

A l’issue du rapport moral du président qui sert traditionnellement de rapport d’activité, le trésorier a fait part d’une saine gestion des finances lors d’un très concis rapport financier de l’exercice 2022 approuvé à l’unanimité. Les perspectives 2023 ont donné lieu à quelques échanges fructueux puisque la plus part des dates ont pu être fixées pour le programme des activités de l’année à venir. Un voyage est, à nouveau, envisagé. Deux possibilités sont avancées : Les Embiez avec repas Bouillabaisse ou le petit train de La Mure. Nicole fait part de son projet de randonnées printanières aux « Pivoines » et sur les « Chemins de Pagnol ». Entretemps aura lieu la traditionnelle sortie à la pleine Lune suivie de soupe à l’oignon.

A consulter : Perspectives 2023

Le bureau directeur de l’association à l’ouvrage : lecture des rapports, perspectives pour 2023, …
Pas d’Assemblée Générale sans moment convivial qui se prolongera à l’auberge avec les « Jailles »

Les randonnées reprennent …

dans la neige fraiche du Champsaur :

Dimanche 15 janvier : Vallon de Combeau

Nous sommes partis du Clos Davin (1360m) près de Serre Eyraud. Tantôt sentier, tantôt piste, parfois neige souvent bouillasse, nous croisons des torrents, des cascades et même des chamois … Des trouées dans la forêt découvrent de beaux panoramas sur le Champsaur. Mais peu à peu de gros nuages envahissent le ciel : ça sent la neige. Nous arrivons à la cabane de tante Yvonne (1820m) : rustique, dans son jus. La photo de la tata nous accueille. Comme il fait très frais on s’y entasse pour le pique-nique. Au retour quelques flocons nous accompagnent. Première rando de l’année, merci à Catherine et Alain.

« on s’y entasse pour le pique-nique »
« de gros nuages envahissent le ciel »
« ça sent la neige »

Photos : Alain FILIPUCCI

Samedi 22 avril :

Sur les pas de Pagnol …

Lundi 8 mai :

Après les fleurs de la garigue provençale : Les Pivoines de Melve (04)

La rando débute un km avant Melve, par le chemin de la Plane (859m). Deci- delà se découvrent de timides pivoines. Puis ça monte « très beaucoup » et 2 sur le groupe de 5 s’arrêtent souvent… Arrivés à la Tête de Boursier (1254m) à l’abri du chapeau, mes yeux découvrent un panorama de Ouf : Piolit, Sirac, Vieux Chaillol, Charance, Bure, Ceüze, pic de Crigne, montagne de Saint Genis, et loin loin Mont Ventoux et la Clue de Sisteron ! Et hop on poursuit plein est à travers une véritable forêt de pivoines. Heureusement le sentier nous évite de les piétiner. Mais ça monte encore et encore. après mille arrêts pour calmer mon petit cœur : le point haut Les Croix (1425m). A 13h30, nous casse-croutons enfin! A la descente un cour passage aérien sur une crête bien étroite en concentre au moins 2… (pas funambules mais presque) Le retour se poursuit. Le palpitant se repose et les genoux travaillent. Au-dessus du village nous croisons la ruine imposante du donjon. A 16h30 les 3 nanas se posent sur un banc ombragé et les 2 hommes vont cherché les voitures . Qu’elle est fraîche l’eau de la fontaine de Melve (820m).

Photos de Marie-Claude JANSELME et Babeth BURLE

Dimanche 25 juin : Refuge du Tourond

« Il est passé de l’eau sous le pont » avant le regroupement …
et le repas au refuge !

Le refuge du Tourond :

Pour la dernière de l’année, balade intergénérationnelle : nous sommes 9 de 24 à 87 ans ! Partis du hameau des Fermons dans la vallée de Champoléon, nous cheminons dans la forêt, la pente est douce, l’air est frais : on papote. Puis ça monte plus fort. Au fond du vallon bouillonne le Drac Noir. Une armée de fleurs borde le sentier : digitales, géraniums, pensées, molynes jaunes, gesses des bois, crêtes de coq, vipérines, véroniques, sauges et plaisir suprême un lys martagon ! Arrivés au refuge, les » pas fatigués » continuent jusqu’à la cascade de la Pisse qui leur apporte la fraicheur de ses embruns. Autour d’une grande table un bon repas (tout à volonté) nous est apporté par un serveur en kilt … Avec le bon goût de la tarte aux myrtilles en bouche, nous revenons par le même chemin. Merci cheftaine Nicole (on t’aime).